Ce qui nous a poussé à nous lancer dans les chambres d’hôtes c’est que nous avons toujours aimé recevoir.

Puis un jour les enfants sont partis, nous nous sommes retrouvés avec des chambres libres, et avec leur accord, nous avons fait des aménagements en prévision de recevoir des hôtes payants.

Mais pour nous être chambre d’hôtes c’est plus que de l’hébergement : il faut avoir le sens de l’accueil, être ambassadeur de sa région aussi…

C’est quelque chose d’extrêmement convivial.

D’abord il faut accepter que les autres vivent chez soi, et ensuite faire en sorte qu’ils s’y sentent bien, pour qu’ils aiment, pour qu’ils aient envie de revenir ou de ne plus partir.
Ces gens qui viennent en chambre d’hôte cherchent cette qualité d’accueil qu’offrait l’ancienne hôtellerie, celle où le client se sentait privilégié.

En fin de compte il faut être à leur disposition sans être à leur service. C’est une relation donnant-donnant mais très plaisante.